Aujourd’hui n’était pas une journée pour trouver de quoi aimer à Québec. Il faisait assez frette, pas trop. La précipitation tombait du ciel, mais encore, pas trop. Le problème que j’ai découvert en débarquant de la bus sur Boulevard Laurier, c’était la combinaison de la précipitation et le vent.
Il y a un méchant vent qui souffle au long du boulevard. Tout le temp. Des bourrasques de vent qui font leur mieux de te pousser en dessous des roues des chars qui passent. Ajoute à ce vent féroce des millions de grains de cristal qui te gratte le nez, les joues, les lèves, et tu peux visualiser cette maudite journée à Québec.
Mais j’ai pu apprendre à distinguer entre ces formes de précipitation, grâce à mon bien-aimé : Environnement Canada.
Ils nous annonçaient de la neige. Ceci « se compose de millions de cristaux de glace hexagonaux en forme d'étoiles. » Non. C’est-tu vrai?
Mais si on parle de la pluie verglaçante ou la bruine verglaçante, là, c’est autre chose. Ces adorables « gèlent au contact des surfaces et forment une couche de glace au sol et sur les objets touchés. »
Ouais, j’en ai vues aujourd’hui.
Pourtant, ce qu’il appelle les granules de glace sont « des gouttes de pluie ou des flocons de neige minuscules, translucides et gelés ou de la neige enrobée de glace, rebondissant et émettant du bruit au contact du sol. «
Moi, je dirais c’est plutôt du grésil. Et oui, encore, on en a eu.
Quelle journée. Quelle journée d’enfer.
1/30/2006
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